Montréal, Canada – Une nouvelle loi sur la taxation de l’eau de pluie a récemment été mise en place au Canada, suscitant un débat animé sur la gestion des ressources en eau dans le pays.

Contexte

La gestion de l’eau est un sujet complexe au Canada, où la compétence fédérale s’étend aux pêches, à la navigation, aux terres fédérales et aux relations internationales. Plus de 20 ministères et organismes fédéraux ont des responsabilités spécifiques dans le domaine de l’eau douce.

Taxation de l’eau de pluie

Dans ce contexte, la taxation de l’eau de pluie est devenue une réalité dans certaines villes canadiennes. Ces villes imposent des redevances sur les surfaces asphaltées et bétonnées, qui empêchent les eaux pluviales d’être absorbées par le sol. Cette mesure suscite de l’intérêt au Québec, notamment à Laval.

Impact et réactions

Cette nouvelle loi a suscité des réactions mitigées. D’une part, elle est perçue comme une mesure nécessaire pour financer les infrastructures municipales vieillissantes et faire face aux défis posés par les changements climatiques. D’autre part, elle a soulevé des questions sur l’équité de la taxe et son impact sur les propriétaires de terrains avec de grandes surfaces imperméables2.

En conclusion

La taxation de l’eau de pluie au Canada est un exemple de la façon dont les gouvernements tentent de gérer les ressources en eau dans un contexte de changements climatiques. Alors que cette loi continue de faire débat, elle souligne l’importance d’une gestion durable de l’eau pour l’avenir du pays, espérons seulement que nos dirigeants n’aient pas la bonne idée d’importer cette loi chez nous…